Le monde Spira est en pleine confusion et de nouveaux dangers vous attendent. Pourtant quelque part, quelqu'un est peut-être encore vivant. |
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INTRODUCTION FINAL FANTASY X-2 Rien ne semblait pouvoir rompre la lugubre atmosphère qui régnait dans ces tunnels morbides, comme rien ne pouvait laisser imaginer ce qui gisait depuis des siècles au fond de cet antre. La pénombre des pièces énigmatiques est lumineuse à côté de ces ténèbres abyssales. Une âme rongée par cette même obscurité s'enfonça un jour dans les entrailles du donjon pour réveiller la force endormie dans celles-ci. Il déploya toute sa peine et sa détresse dans un air non moins noirâtre, mais fut arrêté avant que la machine mortuaire ne soit tirée de son sommeil. Un esprit peiné, sans autre issue que la vengeance, un humain, dont l'amour a viré à la rancune, un homme, dont la moitié s'est dérobée à son insu... un Errant, qui compte achever son projet de mort. Le présent en plein épanouissement est sur le point de subir les retombées d'un sombre passé. Là où tout commence... Ne vous fiez pas au texte d'introduction, qui ne soulève qu'une partie mineure de ce Final Fantasy, car ce volet est surtout connu pour l'image péjorative qu'il porte, celle d'une manoeuvre purement commerciale. Mais revenons à l'origine de ce curieux projet, comme l'en atteste son simple nom : Undercover Le monde est en marche, entraînant avec lui d'inéluctables conséquences. Ses résidents ont leurs propres idées pour l'avenir, et la confrontation attise les feux du conflit. Il n'y a plus de menace pour les souder, plus d'idées communes pour la combattre. Spira vit la naissance de deux camps où l'un remet au goût du jour l'idéologie de Yevon et l'autre dresse la jeunesse en lui inculquant un esprit de militarisme aiguisé. Et quand la présence de sphères antiques contenant les richesses passées de Spira s'annonce, c'est la chasse ! Loin de ce monde en perpétuelle agitation, Besaid écoule des jours paisibles où un heureux événement s'apprête. Mais l'appel de l'aventure mené par Rikku risque de changer la donne pour Yuna, quand l'Al Bhede lui montre une de ces sphères. Celle-ci affiche une scène inquiétante où un jeune homme, parfait sosie de Tidus, clame désespérément son innocence tandis qu'il est enfermé dans une sombre et minuscule cage. La réaction ne se fit pas attendre, Yuna constitue son propre groupe de chasseurs de sphères et donne le départ. Equipe dotée d'un superbe vaisseau, le Celsius, et composé de Yuna, Rikku, une nouvelle venue baptisée Paine, ou encore Frangin, les Albatros se joignent à la chasse. De nombreux camps disputent maintenant la chasse aux sphères, même si l'un d'entre eux en sait plus sur la nature de ces artéfacts que les autres... S'ensuit alors la scène d'introduction de Final Fantasy X-2, où les Albatros mènent une mission dans l'ombre tandis que Yuna s'anime en concert dans la lumière. Et s'il est le point de départ du jeu, il est aussi celui du rejet par une partie des fans : Yuna chante un air de J-Pop et est habillée selon la mode japonaise, c'est-à-dire d'une façon fantasque et désinvolte. Il en va de même pour le style musical du jeu, tranchant de façon presque insolente avec ce à quoi nous étions habitués. Les conversations courantes sont généralement naïves et immatures, de même que certains personnages secondaires côtoyés régulièrement pendant l'aventure. Bref tout ce que les fans appréciaient dans les quatre précédents FF n'apparaît pas dans Final Fantasy X-2, et c'est vraisemblablement la cause de l'accueil glacial que les joueurs lui ont réservé. Nul doute que Squaresoft a d'abord songé à son public japonais, d'ailleurs ce dernier l'a accueilli à bras ouverts. Ce n'est pas tous les jours qu'un FF intègre dans son univers celui du Japon moderne ; si cette orientation ne dure que le temps d'un épisode, plus ou moins en dehors de la série principale par-dessus le marché, alors pourquoi pas ? Les joueurs américains et européens restent toutefois désabusés du choix de Squaresoft, mais ont-ils pensé que si l'on avait replacé Sin, Tidus, Auron et toute la bande pour une seconde aventure, cela n'aurait pas été grotesque ? De plus, l'histoire de fond est plus recherchée que ce que les premières heures de jeu peuvent laisser croire. Elle soulève une partie des pouvoirs ravageurs de l'amour, celle qui touche au désespoir et à la haine... des sentiments insoupçonnés quand on prend (à tort) l'amour sous sa forme la plus primitive. FF10-2 use de son côté FF pour exploiter ce sujet comme peu de jeux vidéo le font. (SPOILER : La suite relève d'importantes révélations sur l'intrigue du jeu, vous êtes prévenu !) La triste histoire de Lenne et Shuyin, résidents de Zanarkand (et indiscutables sosies de Yuna et Tidus), commence lorsque la mort prématurée de Lenne cause un grand bouleversement dans le coeur de Shuyin. Leur amour fut si fort qu'il ne se remet pas de sa disparition et en rejète la responsabilité sur tout Spira. Pour se venger, Shuyin entreprend de détruire le monde pour noyer sa peine, et quand il apprend qu'une arme de Bevelle possède un tel pouvoir, il ne tarda pas à s'en accaparer. Son aventure dans les profondeurs de Bevelle s'en retrouve néanmoins interrompue par des gardes qui l'exécutent sur-le-champ. Mais si le corps de Shuyin ne survit pas, sa détermination, elle, est maintenue. Sans invoqueur pour l'envoyer dans l'Au-Delà, Shuyin traverse les âges en tant qu'Errant et parvient finalement à extirper la fameuse machine de mort de son repère. Reste t-il maintenant une chance de sauver Spira ? Peut-être Yuna, car après tout, elle est le sosie de Lenne... Finalement, Squaresoft a trouvé une histoire qui tient la route, et accessoirement adaptée à FF10-2 : à la fois sérieuse et concise, juste histoire d'offrir un fil conducteur entre deux sous-quêtes... La Sphèromania Parce que "sous-quête" est l'un des mots d'ordre de Final Fantasy X-2. On vous en propose une multitude à travers tout Spira, qualité qui va de pair avec un autre point avantageux : la liberté d'exploration. Et cette liberté fut sans doute le premier objectif de Square lors de la conception du jeu, une sorte de rédemption au principal défaut de FF10 qu'est sa linéarité dérangeante. En effet, dans FF10-2, rien ne vous empêche au début du jeu de vous aventurer dans la forêt de Macalania ou de faire un tour à Luca. Si l'exotisme de Kilika ou de Besaid vous lasse, alors faîtes donc un tour dans la Grotte du Priant Volé où des touristes imprudents se sont égarés. Peu importe où vous allez, il y aura toujours de vieilles connaissances ou de divertissements en tout genre qui vous accueilleront les bras ouverts. Par ailleurs, le scénario se découpe en cinq actes, permettant ainsi de renouveler le contenu de chacune de ces zones. N'imaginez jamais que Spira n'a plus besoin de vous ! De nouveaux donjons sont apparus un peu partout sur la carte, parfois là où ne s'attendait pas à l'époque de FF10. Et cela nous amène à reconnaître l'un des points forts de ce FF10-2 : l'immersion ! Le revers de la médaille cependant, se trouve dans la qualité discutable de certains mini-jeux comme le Blitzball, qui a perdu son côté pratique et divertissant depuis FF10. D'autres sont assez pénibles à réaliser, soit à cause de leur difficulté, soit à cause de leurs règles confuses, soit encore à cause du temps à investir pour les finir... ou encore les trois en même temps ! Ce défaut se répercutera sur Final Fantasy XII, et comme il n'existait pas dans les FF précédents, et qu'un guide officiel pour ces jeux donne plus qu'un coup de pouce pour les terminer, on finit par se demander si Square ne pousse pas à l'achat de ces guides, qui leur rapportent mine de rien 25% de Chiffres d'Affaires supplémentaires pour chaque jeu (presque 50 pour FF12 !!)... On ne manque pas d'air chez les géants nippons ! Oublions ce détail qui rappelle l'ingéniosité des membres de Square-Enix. Parlons plutôt du système de combat, qui a bénéficié d'idées pas moins ingénieuses. Dans FF10-2, les jobs reviennent en force et, modernité oblige, ils ont subi une nouvelle touche de design pour coller avec l'ensemble. Ne vous attendez pas à trouver Rikku vêtue d'une grosse cape et les yeux jaunes sortant du vide ! Yuna, Rikku et Paine disposent d'une garde-robe tout aussi légère que leur tenue de départ, c'est-à-dire court vêtue et très tendance ! Seule la mage blanche fait preuve de pudeur, de même qu'un autre job bien particulier (assez pour ne pas être mentionné ici !). L'intitulé de ce chapitre se justifie (partiellement) par le support matériel sur lequel reposent ces "jobs" : les vêtisphères. Découvertes tout au long de l'aventure, Yuna, Rikku et Paine peuvent s'en équiper et user de leurs pouvoirs. Chaque vêtisphère se différencie par leurs caractéristiques propres, et par les compétences disponibles en combat. Comme le veut la logique, le mage noir permet l'emploi de sortilège de magie noire, mais le chevalier peut très bien lancer ses propres techniques ou la Tireuse peut encore infliger des dégâts répétés pendant un temps imparti par le biais d'une commande spéciale. De nouvelles compétences, de soutien ou d'attaque, peuvent être acquises grâce à l'expérience accumulée au cours des combats, de même que l'expérience des combats fait évoluer le traditionnel niveau des combattants. L'intérêt de combattre régulièrement est donc toujours d'actualité. Fini la théorie, passons à la pratique ! En combat, on fête le retour de la jauge ATB, qui s'avère en pleine forme pour son come-back très demandé. La particularité des combats de FF10-2 réside dans la possibilité d'attaquer même quand une autre action est en cours, ce qui n'était jamais possible jusque là. Tant que la jauge ATB est pleine, n'importe quel participant au combat exécute la commande qu'il a entrée, peu importe quelle autre action est intentée au même instant. Cette heureuse nouveauté est la porte ouverte à tous les combos possibles et imaginables ! Ajoutez à cela les multiples possibilités de répartition des persos sur le terrain, et vous obtenez des combats d'une fluidité et d'un dynamisme exceptionnels, tout du moins pour un RPG classique. FF10-2 propose la meilleure alternative entre le tour par tour classique et les combats très réalistes de FF12. Difficile donc de trouver à redire sur le système de combat de FF10-2, ce qui nous mène à dire qu'il est simplement irréprochable sur ce point ! Un milliers de... yens ? C'est la question qui se pose quand on se rappelle le nombre de singles/albums sur FF10-2 commercialisés à ce jour : 11 ! Mettons à bout la valeur de chacun de ces disques, cela donne environ 120 €, somme qu'un fan japonais peut investir facilement pour le peu qu'il ait apprécié le jeu. Encore un beau chiffre d'affaires, merci FF10-2 !... C'est Koda Kumi, l'interprète de la chanson-thème du jeu, qui rendra disponible les premiers extraits de l'OST. Le Single real Emotion/1000 no kotoba offre le luxe de goûter aux deux chansons du jeu : d'abord real Emotion, un air de J-Pop très survolté, puis 1000 no kotoba (un milliers de mots), le thème principal du jeu. Cette seconde chanson s'avère magnifique, sous ses airs de pop et de variété. Kumi prête sa voix à une Yuna vibrante, chantant des paroles d'amour livrés par une âme millénaire. Mais la première chanson, elle, a scandalisé nombre de fans, et avouons-le : c'est bien compréhensible. Le single sortit le 5 mars 2003, puis l'album, Grow into one, le 19 mars. Final Fantasy X-2 Original Soundtrack se fit peu attendre, puisqu'il n'est sorti que le 31 mars 2003, soit seulement deux/trois semaines après le jeu et le single de Koda Kumi. On y trouve de bonnes surprises, mais surtout de mauvaises : le thème de combat, YuRiPa Battle 3 ressemble tout à simplement à rien, celui des boss non plus (YuRiPa Battle 2) et celui des victoires, Mission Complete, encore pire ! Il s'agit là des plus frustrants, mais comble de l'ironie, ce sont aussi les plus récurrentes !! Parmi les bons côtés, outre les deux chansons qui remplissent très bien leur fonction, il y a le mystique Abyss of the Farplane, fabuleuse musique d'ambiance sur fond de 1000 no kotoba, Yuna's Ballad, une émouvante intervention au piano, Eternity ~Memory of Lightwaves~, le très beau thème du menu principal, ou encore Besaid. L'album se finit sur une remarquable version symphonique de 1000 no kotoba, à ne rater sous aucun prétexte. Le même jour que l'OST sortit un single d'arrangement très convaincant, Eternity ~Memory of Lightwaves~ Music From Final Fantasy X-2. Eternity MoL, Besaid et Yuna's Ballad figurent sur ce single. Les arrangements sont simples mais suffisants pour apprécier au mieux la valeur de ces trois excellents morceaux. On regretta seulement qu'il n'y ait pas eu plus de musiques, cela aurait permis d'en apprécier plus mais aussi d'ajouter un nouvel album d'arrangement à la liste, car ils sont en pénurie ces derniers temps. Le 16 juillet 2003, trois nouveaux singles font leur apparition : Final Fantasy X-2 Vocal Collection Yuna, Final Fantasy X-2 Vocal Collection Rikku et Final Fantasy X-2 Vocal Collection Paine. Derrière chacun de ces étranges noms, deux chansons... soit six au total ! Le concept est simple : les doubleuses japonaises ont interprété le thème musical de leur personnage respectif, avec la traditionnelle seconde chanson promotionnelle. Voici comment s'établit le tracklist de ces trois CD : Koda Kumi sort un nouveau single le 27 août 2003, Koda Kumi Come With Me, où elle reprend real Emotion et 1000 no Kotoba... en anglais ! On ne sait pas si elle a voulu anticiper sur la version américaine du jeu, où si elle a voulu entraîner son anglais, mais ses efforts seront vains... ...puisque c'est Jade From Sweetbox qui a été sollicitée pour la version américaine des deux chansons ! adagio, le nom de l'album d'où sont extraits les reprises de Jade, sortit le 4 février 2004. Le 18 février 2004 sortit l'album Final Fantasy X-2 International + Last Mission Original Soundtrack. Par quoi commencer ? Eh bien se trouvent dans ce CD : les deux chansons-thèmes reprises par Jade From Sweetbox (dont la version orchestrale de 1000 words), To You extraite du single FF10-2 VC Yuna et enfin les nouvelles musiques propres à l'extension du jeu. Rien de remarquable dans ce CD, mais au contraire 1000 words version orchestrale VERSION Jade From Sweetbox est un véritable fiasco ! Jade chante faux à plusieurs reprises, mais le summum se situe à la fin du premier refrain. Mieux vaut en rire qu'en pleurer, mais quand même, les enregistreurs ont-ils fait la sourde oreille pour ne pas vexer Jade ??... Dans tout ce vacarme, on ne l'attendait plus, mais il est quand même venu : Final Fantasy X-2 Piano Collection (pas de "s" cette fois, allez savoir pourquoi). Bien qu'on n'aura pas eu le temps de s'ennuyer, les plus assidus n'ont pas manqué sa sortie, le 31 mars 2004. Le dernier-né des Piano Collections revient à un style proche des premiers : reprises simples mais inspirées. Il y manque toutefois de la virtuosité, qualité indispensable pour un album piano digne de ce nom. Ce manque se ressent dans tous les arrangements, même dans les plus travaillés : Eternity ~Memory of Lightwaves~, Yuna's Ballad et Wind Crest ~The three trails~ (ce dernier est issu de l'édition International, comme Creature Create). 1000 words retente une approche au piano après un essai déjà très réussi sur l'OST, et difficile de dire objectivement laquelle des deux s'en sort le mieux. En somme un Piano Collections honnête, surtout pour un OST comme celui de Final Fantasy X-2. Vous avez été prévenus ! La musique de FF10-2 a cherché dans la complication. Heureusement ce constat à la silhouette très marchande n'enlève rien à sa qualité, certes moins magique que ce qui a pu se faire jusqu'ici, mais acceptable malgré tout. ...et tout finit ...le nom Final Fantasy X International vous interloque ? Il s'agit d'une seconde édition de FF10 sortie au Japon le même jour que la sortie européenne de Final Fantasy X. Mais rembobinons la cassette et revenons quelques années en arrière, à l'époque de Final Fantasy VII (zzzz....dkhsfhzz............Zzzihfizzzz........STOP). Nous voici en 1997, FF7 sort aux USA et les Japonais découvrent avec jalousie le bonus apporté sur cette version : les Armes Emeraude et Rubis, deux nouveaux ennemis pour deux formidables combats. Squaresoft, sensible à l'appel des fans japonais, livre finalement une nouvelle édition du jeu avec les bonus tant réclamés. Un quatrième disque y est ajouté, contenant des informations sur l'univers du jeu, sans influencer pour autant le scénario déjà établi. Cette édition exclusive au Japon prendra pour nom Final Fantasy VII International. Cinq ans plus tard, le scénario se répète, à quelques détails près, avec FF10. Après la sortie américaine du jeu, Squaresoft décide de programmer de nouveaux combats –les chimères purgatrices- pour un bonus de quelques dizaines d'heures de jeu supplémentaires... excusez du peu ! Cette délicate attention sera au bénéfice des européens mais également des Japonais, qui eux auront une version encore plus fourrée avec l'ajout de nouvelles scènes, du doublage américain et d'un nouveau sphérier. Final Fantasy X International rédige par ailleurs les premières lignes d'une éventuelle suite au jeu... Vous l'aurez compris, Squaresoft a trouvé la méthode pour doubler son Chiffre d'Affaires en agrémentant simplement leurs anciennes productions de quelques bonus (KH2FM+ non compris), ce qui a pour effet de garantir du bénéfice sur le dos des fans piégés par cette stratégie commerciale peu scrupuleuse. Ce qui nous amène à Final Fantasy X-2 International + Last Mission... si si, ils l'ont fait ! Une suite attrape-sou optant pour une stratégie telle que l'International... la puanteur commerciale n'a jamais été aussi forte... Conclusion Voici tout ce qu'il y a à retenir sur Final Fantasy X-2, sujet à polémique par excellence. Plus en proie à l'impitoyable monde de la finance qu'à la gloire réputée de la série, ses qualités pourtant aussi nombreuses que tout autre épisode ne seront reconnues que le jour où FF10-2 se débarrassera de ses démons, c'est-à-dire jamais. Comme quoi, il n'y a pas que les joueurs qui sont victimes de la nouvelle politique commerciale de Square. Mais que la raison soit la plus forte : tant que les futurs jeux de Square-Enix maintiennent l'héritage des oeuvres passées, les mentalités, qu'elles viennent de Square ou du public, ne seront que du vent face aux heureux moments que nous tous continuerons de passer à l'avenir. |